jeudi 21 décembre 2006

Bordeaux ? On se déroute sur Toulouse cause brouillard à Castres

Ca avait commencé la veille quand on a dérouté vers Toulouse à cause du brouillard qui s'était pointé un peu sans prévenir (si si, il faut bien le dire, le bougre...). Les passagers du matin nous ayant rejoint en car (on ne se sentait pas de faire TLS-DCM à 5h du mat', allez savoir pourquoi), on se pointe à ORY en sachant qu'on ne redécollera pas tout de suite, et surtout que si on redécolle, on risque fortement de finir à TLS, encore... On prévient les pax, et ceux qui acceptent de prendre le risque de partir avec un équipage pareil embarquent, direction Castres, en toute théorie. JC est content, il fait beau, le Massif Central est enneigé, le café est chaud. Que demander de plus, d'autant qu'on est censés terminer ce vol au sauna de l'hôtel, tranquillous...

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Mais bon, on se doute bien que tout ne se passera pas comme on le veut. On contacte donc Castres pour avoir une dernière. Mais pourquoi donc qu'il aurait bougé c'foutu brouillard? Y'a pas d'raison ma bonne dame, pisqu'y a pus d'saisons... On repart donc pour Toulouse pour alimenter les entreprises locales de transport par bus. Ce n'est qu'à 15h qu'on pourra redécoller alors que ça commençait à se bacher doucement sur les usines Airbus.

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40 minutes entre le resto de l'aéroport et le parking à Castres, on n'est pas peu fiers.

PS: les ptits malins auront remarqué que la dernière photo a été prise le matin, au décollage de Toulouse... Mais on ne fait pas toujours ce qu'on veut, pas vrai? ;o)

mardi 12 décembre 2006

Flying in the haze

Pourtant, la meteo n'annonçait qu'un peu de brume pour ce matin de début décembre... Même à l'ATIS, il y avait 3000m de visi. Quand en finale on nous a annoncé que des bancs de brouillards couvraient partiellement les taxiways d'Orly, on n'y croyait pas. Et pourtant, le temps de fermer l'enveloppe, de se débrêler, et de sortir de l'avion pour en faire le tour, le brouillard était tombé sur Delta 3, ainsi que sur toute la plateforme. C'est comme cela qu'on s'est retrouvés numéro 10 au décollage (si si, ça ne se voit même pas sur la photo), et que la pauvre Corinne a dû garder un sourire de circonstance face aux passagers pendant les 40 minutes de roulage. On était mieux à l'avant...


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Heureusement, les lois du brouillard font que 10 secondes après décollage, on a retrouvé le soleil... Rhhhhahhh Lovelyyyyy


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